dimanche 13 février 2011

66 Scared Street.

C'était le vendredi 13 septembre . Je rentrais du college, quand ma mère m'annonca qu'elle venait d'acheter un manoir dans la ville d'à côté . Elle rajouta : " Julyan on emmenage le week-end prochain ! " Toute la semaine je ne pensais qu’a ça, que le week-end pour enfin ce voir ce manoir ! Le jour J était arrivé , les cartons mit dans le camion de démènagement , nous étions près à partir. J'étais vraiment impatient d'arriver à destination! Une fois devant ce manoir en vieil état mon enthousiasme chuta ! Les murs étaient délabrés dont des plantes grimpés tout le long , les mauvaises herbes avaient recouvert tout le terrain . Mais ce n'était rien comparé a l'intérieur ... Une couche de poussière d'au moin 5 centimètres recouvrait toutes les pièces, mes parents et moi mîrent pratiquement 3 heures a tout nettoyés. Après avoir dépoussiéré ma mère me demmanda d'aller visiter les chambre, pour voir laquelle serais ma chambre . Je fit au moin 5 fois le tours de l’étage, pour enfin trouver laquelle je prendrais. Celle que j'avais choisi était plutôt spacieuse avec une immense bibliothèque , et une fenêtre en face d'un grand tableau noir. Après avoir mis en place mon petit confort, je me mis au lit .

Il devait être à peu près 22 heures, j'étais dans mon lit quand un courant d'air se fit sentir , l’idée que la fenêtre était rester ouverte me viens en téte, mais apres verification non... Je fis le tour de ma chambre pour trouver d'où pouvais venir cet air froid mais je ne trouva rien, Je repartis donc me coucher. Quelques minutes après une voix grave me fis sursauter de mon lit : " Quitte cette maison... Quitte la ou tu le regrettera..." L’écran de mon ordinateur s’alluma et cette phrase apparue " Ceci n’aie que le 1ère avertissement...." Effrayé je partis chercher ma mère. Une fois remonter avec elle, l’écran s’étais réeteins, et tout parraisais normal.
- Julyan, c’est surement la fatigue. Recouche toi !
Je me recoucha mais je ne parvînt pas à me rendormir. Ces évènement se produisirent pendant 3 longs jours ! Le jours suivant, le message avait changer : "Je t'aurais prévenu…" ! Mon seul reflexe fut de crier " qui êtes vous et que voulez-vous ?!" je n'eu pour seule réponse l’apparition de ce message a l’écran : " Tu le découvriras très bientôt ... !"
Pendant la nuit, des bruits de pas dans l'escalier me réveillèrent. Je me leva sans un bruit, m'approcha de la porte et sentis que le bruit des pas se rapprochèrent. J’ouvris la porte d'un coup sec, mais personne à l’horizon! Le lendemain, pendant mon cours de Français je remarqua une enveloppe contenant une lettre coincée entre les pages de mon cahier. Intriguer, je l'ouvris et je lus « Je t’avais pourtant prévenus… A ce soir mon ami Mouahaha ! ».Toute la journée cette lettre occupa mon esprit ! Etait-ce juste une plaisanterie de mauvais goût ? Ou un esprit éré réellement dans mon manoir ? La sonnerie de retentie, c’était la fin des cours ! Comme tous les soirs je pris le bus, arriver à quelques mètres de chez moi, je sentis ce courant d’air froid sur ma peau. Le même que celui que j’avais ressentis l’autre jours dans ma chambre. La panique m’envahis. Une fois le bus arrêtait cette sensation se renforça. Le coucher du soleil arriva plus vite que d'habitude aujourd’hui. Allonger dans mon lit, je vis une ombre blanche passer devant ma fenêtre. Je pensais que ceci était le fruit de mon imagination quand d'un seul coup la fenêtre s'ouvrit et la forme blanchâtre pénétra dans ma chambre. Le spectre s’avança vers le tableau qui était situé au dessus de mon lit. Je me lève et analysa la situation. L’esprit rester face au tableau, comme si elle voulait que je le touche. Je posa mes mains dessus, une pression se fit sentir. J'hésitas 5 minutes et me décida a appuyer. La bibliothèque s'ouvrit comme une porte et laissa apparaître un couloir. Je m'avança et m'enfonça dans le couloir qui me mena a une grande pièce contenant des tableaux qui représentaient une femme, d’autres représentaient un couple marié. J’aperçus une table, sur laquelle étaient poser une dizaine de lettre dont une était déplier. " Chère Anthonio, je sais que vous souffrirez de cette lettre mais je vous doit la vérité. Je pars vivre avec Lui, J'en suis navré mais mon coeur ne vous réclame plus ...". Une voix se fit entendre :
-Aide moi Petit, aide moi !
-Que voulez-vous ? Qui êtes vous ? -Je suis l'ancien résident du manoir. Je m’apelle Anthonio et j’ai besoin de ton aide ! J'hante cette demeure avec l’espoir que mon épouse apprenne la vérité…
-Quelle vérité ? -Son nouveau mari m’a assasiné ! -Comment ?! -J'ai été assasiné ici, dans cette pièce ! D’une balle dans la poitrine... Et je voudrais que tu la retrouve et que tu lui dises la vérité ! -Mais je ne sais pas qui elle est , ni où elle demeure ! -Il en existe qu’une seule d'immense villa dans la région Delignorance, et c’est la qu’elle vie. Diana de Montesquieu, vous n’aurez pas de mal a la trouver…
-Elle me prendra pour un fou !
-Mais non, dites lui que c’est de la part d’Anthonio Mezziano , et elle vous écoutera surement !
Je sentis ce vent d'air froid sur mon épaule et j'entendis la voix de ma mère qui m'apellait :
-Julyan ! Il est 6heures dépêche toi tu vas être en retard ! -Ouuuuui maman j’arrive !
Je descendis, et demanda a ma mère si la ville Delignorance était loin d'ici , elle me repondit :
- Non, à même pas 50 kilomètres pourquoi ?
- -Un devoir pour le collège Maman ce soir je rentrerais un peu plus tard , je vais chez un copain
- d'accord chéri mais pas trop tard quand même !
- T'inquiète M'man !
Une fois ma journée de cours terminée, j'arrêta un taxi pour lui demandait où se trouvait la villa de Diana de Montesquieu, il me dit de monter qu'il allait m'emmener ! Une fois arrivée devant la villa, je resta bouche bée devant sa beauté ! Je m’avança devant la grille, je sonna et un major d’home vint m’ouvrir :
-Je voudrais voir Madame de Montesquieu sil vous plait !
Il me considéra de haut en bas avant de me dire :
- A quel sujet ?
- J’ai un message de la part d’Anthonio Mezziano
Il me fit patienter et partit en direction de l’étage.
Il revint après 2 minutes d’absence, me fit signe de le suivre. Il m’emmena devant une porte en chaine massif, je toqua et entendis une voix douce et féminine me dire : « entré ! »
Je m’avança, et j’aperçue une femme d’une magnifique beauté. Elle était brune au yeux bleus azure. Elle me dit :
- Quel est ce message d’Anthonio ?
- Il air encore, il ne repose pas en paix. Il m’a demandait de vous prévenir que votre nouveau mari l’avait … assassiné !
- COMMENT ? Laurent n’aurait jamais fait une chose pareil. Puis les esprits airants d’existe pas.
- Si je vous assure. Je suis le nouveau propriétaire du manoir, et il m’a demandait de l’aide.
- Il faut que je m’en aille IMMEDIATEMENT.
- Suivez moi !
Elle prit ses affaires, et je la conduis dans le taxi qui attendez devant. Une fois arriver au manoir, je sentie se courant froid.
Elle pénétra dans ma chambre, et j’entendis la voix d’Anthonio me dire :
- Tu as réussie, tu me l’as ramenée !
- Oui Anthonio, elle est la.
Surprise de n’entendre que moi parler, elle me dit :
- Il … Il … Il est la ?
- Oui il est la, et il vous entend.
Et a ce moment la, une idée me traversa l’esprit. Et si Anthonio prenait possession de mon corp. J’émis l’idée a haute voix, et tout deux acceptèrent. Je sentie que je perdais possession de moi, mes membres se paralysèrent. Et la c’est comme si mon cerveau ne pensait plus. Mon corps faisant les gestes seuls, je me laissa guider. Je l’enlaça et alluma la radio. Nous entamions un slow qui sera la derniere danse …



By Léa et Florine.

samedi 12 février 2011

Nouvelle de Léa & Florine

666 rue scared street
C'était le vendredi 13 septembre . Je rentrais des cours, quand ma mère m'annonca qu'elle venait d'acheter un manoir dans la ville d'à côté . Elle me dit aussi : " Julyan on emmenage le week-end prochain ! " Tout la semaine je n'attendais que le week-end pour enfin ce voir ce manoir ! Le jour J était arrivé , les cartons mit dans le camion de démènagement , nous étions près à partir.J'étais vraiment impatient d'arriver à destination! Une fois devant cette villa mon enthousiasme chuta ! Les murs étaient délabrés dont des plantes grimpés tout le long , les mauvaises herbes avaient recouvert tout le terrain . Mais ce n'était rien comparé a l'intérieur ... Une couche de poussière d'au moin 5 centimètres recouvrait toutes les pièces, mes parents et moi mîrent pratiquement 3 heures a tout nettoyés.Après avoir dîner ma mère me demmanda d'aller choisir ma chambre . je fit au moin le tour de 5 chalbres avant de trouver la bonne, celle que j'avais choisi était spacieuse avec une bibliothèque , et une fenêtre en face d'un grand tableau. Après avoir installé mon lit , mon ordinateur et quelques meubles je me coucha .

Il devait être à peu près 22 heures, j'étais dans mon lit quand un courant d'air se fit sentir , je pensais que la fenêtre était ouverte mais non... Je fis le tour de ma chambre pour trouver d'ou pouvais venir cet air froid mais je ne trouvèrent rien , Je repartt donc me coucher quelques minutes après une voix se fit entendre " Quitte cette maison... Quitte la ou tu le regrettera..." Mon ordinateur s'alluma et des écritures apparaissèrent " 1ère avertissement...." Effrayé je partit chercher ma mère , Mais une fois revenu dans ma chambre l'ordi s'était éteind. Ma mère me dit : " Julyan tu as du rêver va te recoucher !". Je me recouche mais je ne parvînt pas a me rendormir. Ces évènement durèrent 3 jours!.. En effet le 4ème jour ce n'était plus le même message non ! là il était marquer "Je t'aurais prévenu."Mon seul reflexe fut de taper a l'ordinateur " qui êtes vous et que voulez-vous ?!" je n'eu que pour seule réponse " Tu le découvrira très bientôt !..." Pendant la nuit J'entendis des pas dans l'escalier, je me lève sans faire de bruit m'approche de la porte ... J'entendais toujours les pas, et l'ouvrit d'un coup sec ! mais personne ! Il n'y avais personne dans le couloir. Du lendemain j'étais en cours de Français quand je remarque une lettre dans mon cahier , je l'ouvre et la lis " Tu ne me verras pas avant ce soir et je disparaît comme je veux la surprise ne marche pas avec moi ! Toute la journée cette lettre hanta mon esprit ! était-ce juste une blague ? Ou vraiment une chose surnaturel ? La sonnerie de fin des cours me fît sortir de mes pensées. Comme tout les soirs je prenais le bus , à quelques mètres de chez moi je sentis cet air froid sur ma peau a plusieurs reprises. Une fois le bus arrêtait cette sensation disparu. Le soir arriva plus vite que d'habitude.Alors que j'étais dans mon lit quand je vis un spectre blanc passer devant ma fenêtre, je pensais que c'était le fruit de mon imagination quand d'un seul coup la fenêtre s'ouvrit et la forme blanchâtre fonça sur moi , Ou plutôt , sur le tableau qui était situé au dessus de ma tête. Je me lève et analyse ce cadre en posant ma main sur le cadre je sentis une pression , en appuyant dessus le cadre se souleva pour laisser place a un levier, J'hésita 5 minutes et me décida a l'actionner. En l'actionnant la bibliothèque s'ouvrit comme une porte et laisse apparaître un couloir. Je m'avance et m'enfonce dans le couloir qui me mena a une grande pièce ou il y'avait des tableaux représentant la même femme et un représentant un couple marié . Dans le coin à gauche il y'avait une table avec des lettres dessus.Une était déplier et je lus les premières lignes " Chèr Anthonio ,je sais que vous souffrirez de cette lettre mais je vous doit la vérité Je pars vivre avec Luis , J'en suis navré mais mon coeur ce n'est plus vous qu'il réclame ..." Il y'avais une lettre vierge a côté de celle ci . Un stylo s'éleva dans les airs et se mit a écrire " Aide moi Petit aide moi ! " Je répondis " Que voulez-vous ?" Rien ne fut écris sur la feuille mais j'entendis " Comment lui faire comprendre ..." Je m'entendis répondre " Comprendre quoi ?! " un moment de silence apparut et je redis ma dernière phrase :                                             -Tu..Tu m'entend ?!                                                                                     -Oui je vous entend !!                                                                                      -Qui est-tu ?                                                                                                                     -C'est plutôt a moi de vous le demmander !                                                                                                                              -Je suis l'ancien habitant de cette maison... Anthonio.                                                              -Oh...Moi c'est Julyan mais qu'est-ce-que vous faites encore ici si vous êtes mort ?!                                                                                           -Oui..Je.. J'hante cette maison en espérant que me femme revienne. C'est une sorte de tache inachevé                                                   -Votre femme ?                                                                                           -Oui elle est partie avec un homme, Il y'a quelques années... mais elle reviendra quand elle saura la vérité !                                                  -Quelle vérité ?!                                                                                          -Euh... Julyan cs sa ? Bah vois-tu je ne suis pas mort de façon naturelle , NON ! On m'a assasiné , et l'assassin et le nouveau mari a ma femme !                                                                                     -Comment ?!                                                                                                  -J'ai été assasiné ici ! dans cette pièce, on ne survis pas à une balle dans la poitrine....                                                                                  -Mais vous voulez que je fasse quoi au juste ?!                                                 -je voudrais que tu la retrouve et que tu lui dise la vérité                                 -mais je ne sais pas qui elle est , ni ou elle est !                                              -Il en existe beaucoup d'immense villa dans la région ou habite Diana de montesquieu ?!                                                                               -Non , c'est elle votre femme ?!                                                                   -Oui ! Je sais c'est devenu une celébrités dans le monde de la mode !..                                                                                                            -comment voulez-vous que je lui parle ?!                                                      -Dites lui Anthonio Mezziano , et sa devrait aller!                                             Je sentis ce vent d'air froid sur mon épaule et j'entendis la voix de ma mère qui m'apellait !                                                                     -Julyan ! il est 6heures dépeche toi tu va être en retard !                                -OUUI ! j'arrive maman , j'arrive !
5 minutes après j'étais en bas et je demmanda a ma mère si la ville de Diana était loin d'ici , elle me repondu : " Non à même pas 50 kilomètres pourquoi ? " " Un devoir pour le collège Maman ce soir je rentrerais un peu plus tard , je vais chez un copain", " d'accord chéri mais pas trop tard quand même ! " " T'inquiète M'man !" Je pris le bus et une fois ma journée de cours  terminé j'arrêta un taxi pour lui demmandait ou se trouvait la villa de Diana de Montesquieu il me dit de monter qu'il allait m'emmener ! Une fois arrivée devant la ville Je restèrent bouche bée devant sa beauté ! Il y'avait un major d'home devant la grille je m'avance vers lui et lui dis :je voudrais voir Madame de montesquieu silvouplait ! Il me considéra de haut en bas avant de me dire :" A quel sujet ? ."                             Je repondis simplement " Anthonio Mezziano " il me dit de patienter et partit en direction de la maison

vendredi 11 février 2011

The lover mind

Dring, Dring, (le téléphone sonne).
- Allô ? je réponds.
- Oui, êtes vous Illary McGowan ?
- C
- J
est bien moi, pourquoi ?ai malheureusement une mauvaise nouvelle à vous annoncer
- Qu
- Vos parents viennent de succomber à leurs blessures suite à un accident de voitures, je suis navré.
- Quoi ? Non, c
- Oui, je suis vraiment désolé.
La tristesse m
C
est-ce quil y a ? est impossible ! Êtes-vous sur que ce sont mes parents ?envahit comme si tout allaient sécrouler autour de moi. Je massois effondrée sur mon lit, les larmes coulantes sur mon visage. Je ne sais plus quoi penser. Quallai-je devenir ? Et cest sur cette question que je mendors.est une heure plus tard que je me réveille avec lespérance que la mort de mes parents soit un mauvais rêve, mais cest pourtant la réalité
Ding Dong, (on sonne à la porte).
- Illary McGowan ? Dit un homme portant une étiquette sur le bras où l
- Oui
- Bonjour, nous enquêtons sur la mort de vos parents.
- C
- Il se pourrait bien, oui. Nous pensons qu
- Mais on m
- Après que notre médecin légiste ait examiné les corps, il nous a rendu ses diagnostics.
- Alors ?
- C
Je suis maintenant prête à menez l
Voilà, elles arrivent. Ça me fera du bien de voir d
- Illary ! Je suis tellement désolé pour tes parents ! me dit Amanda.
- Venez, entrez, dis-je.
- Comment tu vas faire maintenant ? me demande Lori.
- Je n
- C
- Oui
- Je peux venir vivre avec toi en tant que colocataire si tu veux, propose Amanda.
- Hé ! Ce serait super ! dis-je.
- Oh ! Je peux venir ? Enfin, sans vouloir m
- Bien sur, ça me fait plaisir. Je pars demain matin à sept heures, vous serez prêtes ?
- Ne t
- Alors à demain.
C
A sept heures moins dix, je suis prête et Lori est déjà là.
- Vivement qu
- Deux heures, je réponds.
- Là voilà ! On y va !!
On met les valises dans le coffre, on s
Quelques minutes après que l
Voilà, enfin arrivées à destination.
- Wow ! C
- Je vais vous montrer vos chambres qu
Je les laisse s
A
Il est seize heures trente quand nous avons finit nos courses, alors ont décident donc de jouer à un jeu de société, le Monopoly
- Hé Illary, tu n
- Mince, crie Lori, on a oublié d
- Ce n
Je regarde dans les placards de la cuisine, puis, dans l
- On dirai que tu as vu un fantôme, ça va ? me demande Lori.
- Oui, oui ! Je n
- Je t
- Où sont les toilettes s
- Au fond du couloir principal sur la gauche, je réponds.
- Traînes pas, je dois y aller aussi après ! dit Lori.
Quelques minutes après, Lori et moi voyons Amanda revenir en courant, le souffle coupé et en pleurs.
- Amanda ? Qu
- On m
- Tu as du rêver, dis-je, ne t
- Bon, désolé mais là c
- NON ! N
- Je ne peux plus me retenir, désolé ! redit elle en grinçant des dents.
- Calme toi Amande, allonge toi et détends toi, dis-je pour la détendre.
Dix minutes depuis la crise d
- Laisse la tranquille, sal fantôme ! dispute Amanda.
D
- Ça va ? je demande.
- Ça pourrait aller mieux ! répond-elle.
- Je voulais me vengeai
- Qui a dit ça ? s
- Le fantôme de Dumfries !
- Vous vengez de quoi ? De qui ? je demande.
- De toi ! répond-il.
- Quoi ! Pourquoi ?
- Illary, on a peur ! chuchotent Lori et Amanda.
- Tu avais promit Katherine ! Promis de ne jamais partir d
- Katherine ?! Elle s
- C
- Tu me reviens ! Restes avec moi ou je tuerai tes amies ! ordonne t-il.
- Oh mon dieu ! crie Amanda.
- D
Je leur fais un clin d
Je n
- Tu as tué mes parents pour que je vienne ici ? je demande.
- Non, mais cela aurait été une bonne idée, répond-il.
- Je ne te crois pas !
- Crois moi ou pas, peu m
Je pars en courant à la recherche d
Je le cherche depuis une heure mais il a disparu
près nous allons au petit supermarché qui est à une quinzaine de minutes du manoir.
on voit écrit « POLICE ». ?est une mort suspecte ? je demande.après laccident, ils étaient encore en vie et quensuite, quelquun les aurait tué.a dit quils avaient succombé à leurs blessures suite à laccident.est bien ce que nous pensions, quelquun les a torturé jusquà ce quils meurent. On voudrait que vous nous appelez, si vous avez un indice ou quoi que ce soit. Nous ferons pareils de notre côté si nous avons du nouveau.enquête mais avant jai besoin que lon me remonte le moral. Jappelle mes amies pour quelles viennent.autres personnes que la police ou des médecins !en sais rien ! En plus, jai hérité du manoir de ma mère qui est en Écosse.est un bel héritage, mais tu vas y vivre seule ? sinquiète Amanda. Ça me fiche la trouille dy aller seule imposer dit Amanda.inquiète pas ! Crient-elles en se levant.est le grand jour ! Le jour du départ en Écosse ! Il est cinq heures et demi du matin ! Jai le temps de me préparer avant quelles arrivent.Amanda arrive ! me dit-elle avec joie et excitation. En fait, il y a combien dheures de route ?installe dans la voiture, je démarre le moteur et en route pour Dumfries !on est démarré, Lori met à fond la musique et ont chantent tout le long du trajet.est super grand ici ! dit Amanda.y sont à létage, venez ! dis-je.installer et défaire leurs bagages et je fais la même chose de mon côté. un grand classique !as pas un petit quelque chose à grignoter ? me demande Amanda.acheter des biscuits !est pas grave, je vais regarde dans la cuisine, dis-je.un dentre eux, je trouve une boîte de vieux pims à la framboise. Vu la couleur, je ne préfère pas tenter le coup ! Je jette les biscuits à la poubelle, puis je ressens un frisson de frayeur. Je me dépêche alors de chercher un paquet de chips dans les sacs de courses et je retourne dans le salon.ai plus lhabitude de vivre ici, cest pour ça ! Tiens Amanda, jai pas trouvé de biscuits comestibles alors jai pris les chips quon a acheté, jexplique.en pique Amanda, dit Lori en chipant un chips.il te plaît ? me demande encore Amanda.est-ce quil y a ? je demande.a touché lépaule !! crie t-elle. en fais pas ! est urgent, dit Lori, je dois y aller !y vas pas ! hurle Amanda.Amanda cétaient écoulées et Lori nest toujours pas revenue des W.C. ce qui inquiète encore plus Amanda. Je décide daller voir si tout aller bien avec elle. En arrivant au fond du couloir, nous voyons la porte entre ouverte et la lumière allumée mais elle nest pas là. Soudain, un cri venant de létage nous perturbe. Nous y allons et avec une peur atroce, ont voient Lori entre les mains dun fantôme qui me semble familier.un coup, il disparaît en laissant Lori à terre. dit une voix.inquiète Amanda.ici parce quon saimait ! dit le fantôme dune voix terrifiante. appelle pas Katherine, idiot ! gronde Lori.est mon ancêtre Katherine et il laimait et elle aussi. Je suis son portrait crachée alors il pense que cest moi et me veut depuis mon enfance, jexplique.accord mais laisse les tranquilles ! dis-je.œil en leur faisant un geste pour quelles sen aillent.appartiens pas encore au fantôme et je savais comment le tuer, en laspirant avec un aspirateur. De toute façon, je ne vois pas dautre moyen pour me débarrasser de lui ! Mais avant je voulais savoir si cest lui qui avait tué mes parents.importe.un aspirateur avant quil me retrouve. Je fouille tous les placards puis je finis par en trouver un, il ne me manque plus quà retrouver ce fantôme. Alors je massois dans un des vieux fauteuils. Jen ai marre de le chercher mais je dois en finir avec lui ! Je me demande aussi où sont allées Amanda et Lori
Bip Bip, (mon portable sonne).
- Lori ? Où êtes-vous ? je demande.
- A la porte d
- J
Elles ont ramené des sortes d
- Ah ah ah ! Vous pensez me tuer comme ça ?! dit le fantôme.
- On va te torturé ! dis-je.
- T
- C
Bchh
Voilà, le fantôme de Dumfries est aspiré. C
On part du manoir tout de suite après avoir rassemblé nos affaires. Je ne reviendrai plus jamais ici et je ferai détruire ce manoir avec les aspirateurs qui contiennent chacun un des trois morceaux du fantôme.

Emilie & Ines & Kelly
entrée, on ne pouvait pas te laisser seule ! On ne savait pas si on devait tappeler ou sonner, répond-elle.arrive vous ouvrir, dis-je.aspirateur comme dans les films dextermination de fantômes. arracher en morceau ! dit Amanda.est parti ! hurle de joie Lori. (bruits des aspirateurs).est enfin finit !

Qui aime la "MAUDE" ??

C’était un jour comme les autres... Enfin c’est ce que j’ai cru, au début :

- « Oh Nooooon !!! Pas ça ! »
- « Qu’est-ce qui se passe ?! » Cria ma mère.
- « Maman ! Tu ne devineras jamais, C’est affreux ! »
- « Quoi ? Tu as fais une tâche sur ta nouvelle chemise en soie ?!! »
- « Mais non ! Pire que ça ! J’ai eu les résultats des analyses pour ma vue ! »
- « Et alors ? »
- « Je dois porter des lunettes ! »
- « Ah mais ce n’est pas grave, il y en a des belles ; des Dolce & Gabanna, des Dior, des Channel, des Calvin Klein…
- « Même ! Ce n’est pas ça le problème ! Tu me vois vraiment avec des lunettes ?! »
- « Euh,… Non, pas vraiment, tu as raison, mais c’est pour ton bien. »
- « Maman, je suis vraiment obligée ?... »
- « Eh bien, si tu n’en mets pas, ta vue baissera de plus en plus et tu ne verras plus rien. Donc fais comme tu veux, mais ne viens pas te plaindre. »
- « Bon d’accord… De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix… »
- « Bien. Maintenant que cette histoire est réglée, je dois aller au travail. À ce soir, bonne journée. »
- « OK ! Merci à toi aussi, à ce soir. »

Alors que je partais au lycée, quelqu’un sonna à ma porte.
C’était Laetitia. Elle m’avait apportée des croissants pour le déjeuner.
- « Tiens » me dit-elle en me tendant un croissant.
- « Non merci, je fais attention à ma ligne ! »
- « OK, pff. Ce n’est pas avec un petit croissant que tu vas prendre 10 kilos.  »
- « J’ai dis non merci ! Aller, on y va. »
- « OK. »
Sur le chemin du lycée, nous rencontrons Timothée. Le plus beau garçon du bahut, et il s’avança vers nous.
- « Salut les filles ! »
- « Euh… Salut Timothée ! »
- « Ca va ? »
- « Oui ça va, et toi ? »
- « Ouais. Dites-moi, ça vous branche une fête samedi soir ? »
- « Bah ouais, à quelle heure ? »
- « 21h00, chez moi. »
- « OK, pas de problème. À Samedi ! »
- « Bye. »

Je n’en croyais pas mes yeux… Mais, en faite, dis-je tout bas, MES YEUX… Mes lunettes !!
- « Euh… Ca ne m’intéresse pas cette fête finalement » dis-je à Laetitia. 
Elle me répondit :
- « Mais, il y a 5minutes, tu étais aux anges… »
- « C’est vrai » lui dis-je.
- « Mais, je viens de me souvenir que j’avais pleins de devoirs à faire ce week end… »
- « Oh non tu peux pas me faire ça ! Je serai toute seule sinon !! »
- «  Tant pis, tu n’as qu’à y aller avec Jessica. »
- « Ouais, … Bon moi j’ai un cours de maths à plus ! »
- « Oui, et moi un cours de Français ! Salut. »

En cours de Français, je n’arrêtais pas de penser à la fête de Timothée que j’allais rater. Puis la sonnerie du midi interrompit mes pensées.
Je n’avais pas faim, j’avais une boule au ventre…
J’étais tellement dégoûtée de ne pas pouvoir aller à une fête aussi populaire que moi, juste à cause de lunettes débiles qui allaient ruiner ma réputation.
De plus, manquer cette fête, pour moi, c’était impossible.
Mais à cause de ces lunettes, j’étais bien obligée…
Puis en rentrant chez moi, j’allai dans ma chambre et je vis une boîte sur mon lit, où il était écrit « D&G », je l’ouvris et j’y trouva une paire de lunettes roses.
Je les essaya et me regarda dans le miroir. Je trouvais que cela ne m’allait pas trop mal. Et je m’y habitua… J’appela Laetitia pour lui dire que finalement j’allais à la fête, que j’avais des nouvelles lunettes, puis je lui expliqua mon histoire depuis le début et pourquoi je ne voulais pas aller à la fête…

Cette après-midi, je n’avais pas cours. Alors, j’allai faire du shopping, histoire de trouver une robe pour la fête de Timothée.
Aucune des robes n’était faite pour moi et pendant un moment je désespérai…
Puis tout d’un coup, dans le fond du magasin, j’aperçus une robe magnifique. J’étais vraiment sûre qu’elle était faite pour moi.
Maintenant que j’avais ma robe, je pouvais aller m’acheter des chaussures.
Après une séance intense de shopping, je rentrai chez moi.

Je sortis mes nouvelles chaussures de leur boîte pour les contempler.
Puis j’essaya ma nouvelle robe qui était splendide.
Elle m’allait si bien, que j’étais persuadée faire chavirer le cœur de Timothée. J’étais impatiente d’aller à sa fête.
Quelques heures plus tard, Laetitia m’appela pour me demander si je venais toujours à la fête de Timothée et je lui répondis que oui car j’avais trouvée une belle robe, des belles chaussures, et mes lunettes m’allaient extrêmement bien.
Laetitia avait l’air jalouse de moi. Je l’entendais au fond de sa voix. Puis, elle raccrocha.

Le lendemain midi, ma mère m’appela pour dîner. Je descendis sans mes lunettes ; je les avais oubliées dans ma chambre. Et m’a mère me fit la remarque. J’alla donc les rechercher en haut. Je descendis de nouveau et j’entendis ma mère dire : « Quelle têtue celle là ! » mais ses lèvres ne bougeaient pas.
Je lui dis alors : « Qu’est-ce que tu dis maman ? » et elle me répondis qu’elle n’avait rien dit. C’était bizarre, j’avais entendue des voix, comme Jeanne d’Arc ! C’était sans doute une hallucination. 

Après un bon repas, j’appela Laetitia pour lui demander ce qu’elle allait mettre pour la fête de ce soir.
Et elle me répondis : « Une jupe en jean et un haut rose fleuri. »
Je lui répondis que c’était un très bon choix. Elle me remercia et raccrocha.
Le soir venu, j’étais toute excitée à l’idée de revoir Timothée.
Et d’un seul coup, Laetitia sonna à ma porte, j’ouvris et elle me fit la remarque suivante :
- « Elles sont sympa tes lunettes ! »
- « Ouais, je sais, elles me vont super bien ! »
Puis j’entendis une petite voix qui disait « Oui, ne te vante pas surtout… »
Et je lui demanda ce qu’elle avait dit. Mais encore une fois, ses lèvres n’avaient pas bougées.
Mais elle me rétorqua qu’elle n’avait rien dit.
Je l’a regarda, puis je lui dis :
- « C’est bon on peu y aller. »
Elle sortit, et je la suivis.

Arrivée à la fête, Laetitia se jeta sur Timothée pour lui dire bonjour, avant même que j’eu passée la porte.
Il y avait beaucoup de monde qui me regardait et d’un seul coup, alors qu’il n’y avait que de la musique, j’entendis des voix dans ma tête. Toutes me critiquaient horriblement. Ils disaient que j’étais superficielle, habillée comme Cendrillon, et j’en passe. J’étais très gênée. De plus, aucune des personnes présentes n’ouvrait la bouche. Je partis alors vers Laetitia pour lui dire que je partais… Et j’entendis « Qu’il est beau… » De la voix de Laetitia qui dansais avec Timothée.
Je me disais que j’étais devenue complètement folle et je versa une larme. Je retira alors mes lunettes et toutes les voix dans ma tête s’arrêtaient.
J’étais apparemment devenue une fille superficielle que personne n’aime.
Je rentra chez moi et m’enferma dans ma chambre. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Je n’arrivais plus à m’arrêter. Toutes ces critiques sur moi me perturbaient.

J’étais tellement énervée que je jeta mes lunettes au sol. Je vis le verre éclater. Je ne me rendais même plus compte de mes actes.
Ma mère ouvra la porte de ma chambre et me disa :
« Maude, ma chérie, j’ai une bonne nouvelle pour toi. Tu peux dire adieu à tes lunettes ! L’ophtalmologiste m’a appelé et m’a dit qu’il s’était trompé d’examens. Il m’a aussi ajouté que ta vue était parfaite.
Mais en faite, que c’est-il passé ici ? »
- « Et bien, rien j’ai juste cassé mes lunettes… »
- « Heureusement que tu n’en avais plus besoin. Bon nettoie moi ça »
Et elle descendit.
J’étais si heureuse ! Mais dans ma tête, beaucoup de questions se bousculaient… Etait-ce des hallucinations, ou était-ce la réalité ? Peu importe… Le cauchemar était terminé.

Marie Leclercq et Camille Vandeville

Chambre 13

Tout a commencé un jeudi du mois d'octobre 1999, Nina rentrait chez elle. Sa mère lui avait préparé un succulent goûter. Ses parents lui annoncèrent avec enthousiasme qu'ils allaient déménager à Toulouse à plus de 600 km de là où elle habitait.
Les traits de Nina commençaient à durcir,son teint pâlit, son corps devenait raide,ses magnifiques cheuveux roux s'emblaient blanchir et ses yeux bleus étaient devenu glacés. Elle éprouva une horrible haine contre ses parents,qu'elle décida la nuit même de fuir de chez elle. Les jours passèrent et cela faisait bientôt trois jours qu'elle n'avait vu ni ses parents,ni ses amies. Tous ses proches commençaient a lui manquer. Quand elle passait devant les kiosques,elle se voyait en première page des journaux , « Voici maintenant trois joursque Nina Palenzi à disparu de sa ville natale...». Plus les jours passèrent plus Nina voulait retourner chez elle.
Au bout de 5 jours la gendarmerie de Naples la retrouva et l'emmena chez ses parent. Elle fut puni et fut placée dans un foyer celui de la région:Le foyer des jours heureux chambre 13. Les jours passèrent et Nina devenait de plus en plus mystérieuse. Un jour pas très longtemps après,elle fut retrouvé pendue dans sa chambre.
Dix ans plus tard:
Julie était une jeune fille de 13 ans,rousse,aux yeux bleus.
-« Julie,vient m'aider a ranger les cartons s'il te plait!! ».dit sa maman.
-« Oui maman j'arrive ,je suis au téléphone »
-« D'accord mais dépêches-toi »
-« Maman,Joséphine m'invite a sa fête ce soir! Je peux y aller? »
-« Non,il en est hors de question,on en a déjà parlé avec ton père. »

Pendant la nuit folle de rage,Julie s' échappa de la maison et alla chez son amie Josephine. Dès son retour ses parents la surprennent en train déscalader la facade de la maison. La semaine qui suivit elle fut placée dans le foyer des jours heureux,elle était dans la 13ème chambre. Julie se renfermait sur elle,elle ne parlait à personne. Le matin elle se réveillait toujours à 2h36. Elle ressentait une légère présence qui reposait sur son épaule,elle commensait à en avoir l'habitude et se disait que la fatigue et le chagrin lui faisait halluciner et se rendormie aussitôt. Cela dura un mois,désormais les résidents du foyer la prenaient pour une folle.
Les parents de Julie furent tués quelques jours plus tard dans un accident de voiture. Elle se retrouva donc seul. Les postères de sa chambre avaient laissés place aux vieux murs gris et ténébreux.
En se rendant à la salle de sport,Julie crut apercevoir dans un des couloirs,une silouhette vêtue de blanc qui faisait des allés et retours,puis elle s'approcha. Julie ferma les yeux,son coeur battait tellement fort qu'elle cru qu'il allait lâcher. Elle entendit une voix familière,elle ouvrit les yeux et devant elle se trouvait sa principale. C'était une femme grande et mince qui avait un chignon bien tiré,de grandes lunettes et un regard doux. Elle demanda à Julie qui avait l'air abasourdie,ce qui lui arrivait. Mais la jeune fille toujours paralysée s'enfuie sans un mot et rejoigna le gymnase. Dans les vestiaires,pendant qu'elle était seule elle sentit un frôlement,comme si quelqu'un passait derrière elle. Quand elle se retourna elle aperçut dans le coin d'un mur une jeune fille vêtue de blanc comme celle qu'elle avait vue deux jours auparavant qui faisait des allés et retours dans le couloir principale,croyant que c'était une mauvaise blague. Elle s'approcha et
voulue attraper l'épaule de la fille mais n'y arriva pas,sa main l'avait transpercée. Julie était raide,car l'emprise de la peur l'empêchait de bouger. La silhouette étrange se retourna,elle ressemblait étrangement à Julie sauf que la jeune fille avait le visage pâle comme un cadavre et une corde à son cou. Julie paniquée pensait qu'elle n'était plus de se monde et s'est évanouie.
Au petit matin,Julie se réveilla comme si rien ne s'était passé et alla à son cours de Français comme tout les mercredi. A la cafétéria, Julie mangea rien son visage était tellement pâle qu'on aurait cru que quelqu'un était rentré en elle,mais enfaite c'était son cauchemar de la veille qui l'avait troublé toute la matinée. L'après midi son professeur de sport avait organisé une randonnée dans le petit bois,qui se situait en face du foyer.
Au bout d'une heure de marche,elle perdit de vue ses camarades. Les minutes passaient et Julie commençait à paniquer,elle perdait espoir et arrêta de crier. Le ciel commençait à s'assombrir,les bruits de la forêt se faisaient entendre. Mais Julie garda son sang-froid et se fit une sorte de lit avec des feuilles mortes et elle s'endormit. Elle fit réveillée par le souffle du vent. Julie vit une ombre,elle s'approcha puis la chose étrange tournoya autour d'elle comme des feuilles mortes balayées par le vent.
Tout commença à s'arrêter quand les cris des gendarmes retentirent.
-« Julie, Julie!! Où es-tu? »
Mais en vain. La jeune fille entendit ses parents plutôt sa mère elle avait une une voix tellement douce qu'elle se crut dans un rêve.
Une personne lut dans un article « Le 26 Septembre 2011, une jeune fille fut retrouvée sans vie dans la forêt ». Les médecins légistes avaient un avis bien partagé certains pensaient qu'elle était morte de froid,de faim et/ou de fatigue.
Depuis ce jour,le foyer des jours heureux eut une mauvaise réputation et les élèves qui en ressortaient finissaient mal voir même très mal.

Noémie Vasuti et Océane Seck

Les pierres du destin

Chapitre 1: Cauchemar !

«Au feu ! Au feu !» hurlèrent les gens de la ville. Devant ce petit enfant triste qui voit les pompiers essayant d'éteindre le feu de cette maison. Ils portaient trois personnes que le petit enfant essaye de reconnaître mais quand il les reconnut il était trop tard... brulé par le feu et étouffé par la fumée, ses parents et son petit frère sont mort alors que cet enfant n'avait que 15 ans. Et cet enfant, c'est moi.
Je me réveillai en sursaut: Voici mes cauchemars, voici ma vie. Désolé, j'en oublie les bonnes manières. Bonjour je m'appelle Yohan, 16 ans, lycéen et orphelin depuis mes 15 ans dont les parents sont morts et le petit frère de 7 ans gravement blessé puis mort après 2 semaines de coma par un inconnu qui a mis le feu à ma maison ! Vous vous demandez peut-être comment je suis encore en vie ?Eh bien... le testament de mes parents ma légué toute leur fortune. Voilà maintenant je vais vous dire ce que je fais ici. Je suis à la recherche des 9 pierres du destin. Pourquoi ? Qui est-ce ? Qu'est ce que c'est ? C'est mon destin.
Tout à commencé aux funérailles de ma famille. J'avais les yeux fixés sur leur tombe et les oreilles occupées par la citation des oraisons funèbres. Mes sens étaient tous occupés mais mes pensées étaient perdus dans les limbes du cauchemar. Je me repassais dans la tête la scène dont j'ai été témoin. Je voyais une silhouette habillé de noir avec une faux à la main assis sur la tombe de mes parents. Je me suis rendu conte que ça ne venait pas de mes cauchemars. Mais personne avaient l'air de le remarquer. Suis-je devenu fou ? Je dois fermer les yeux......
« Tiens, bien le bonjour mon cher ami. »
Un squelette. Non ce n'est pas possible. Je suis devenu fou. Je dois quitter ce lieu et retourner chez moi. J'étais fixé par tout le monde. J'essayais d'échapper à une illusion dont j'ai été victime, mais est ce bien une illusion ? Je m'enfermais chez moi. Puis soudain le squelette apparut devant mes yeux.
« Ne t'inquiète pas, je ne te veux aucun mal. »
Je me doutais bien, je ne suis pas fou. C'est la mort, la vrai.

Chapitre 2: Là où tout à commencé

  • « Que me voulez-vous ? »
  • Je veux te demander quelque chose. Un petit service.
  • Mais qui êtes-vous ?
  • Tu n'as pas besoin de savoir. Je suis la mort.
  • C'est absurde. De toute façon tu peux me faucher, j'm'en fous.
  • Je ne suis pas là pour ça. Je veux que tu retrouve les 9 pierres du destin.
  • Pardon ?
  • Ecoute mon récit. Il y' a 10000 ans, 9 personnes voulait traverser le Rhin en Europe. Ces 9 personnes étaient inscrites dans mon livre. Ces dernières avaient des cœurs purs. Alos je leur ai promis qu'après leur mort, je leur créerai une pierre précieuse pour chaque personne en leur mémoire. Les pierres étaient en ma possession ; mais les âmes perdues me les ont pris pour leur égo.
  • Ce que je veux que tu fasses récupérer les pierres et tu seras récompenser.
-Pourquoi?
-Ton plus beau trésor, tu pourra revoir tes parents et ton frère.
-Quoi?
C'est à partir de là que je travaille pour la mort. J'étais son employé.

Chapitre 3: Après un an de dur recherche

Une année est passée après ma rencontre avec la mort. J'allais touché à mon but.
J'avais en ma possession sept pierres et j'avais compris que chacune avait un effet spécifique sur son
possesseur. Sur chacune de ces pierres était inscrit un nom .
J'en pris une au hasard, qui était de couleur bleue marine, une couleur que j'appréciais beaucoup.
Sur cette pierre était inscrit : «Abraham Doxas» le nom du défunt qui servis à créer ce saphir.
La mort m'a expliqué que ces personnes étaient inscrites dans son livre par erreur.
Pendant que mes yeux étaient fixés sur le saphir, je suis tombé nez à nez avec une créature étrange qui ressemblait drôlement à un ange, mais en plus petit ; je n'étais pas étonné, car je savais bien que je n'étais pas au bout de mes surprises, ça c'est sur!!!
- «Fait attention où tu marches, mais tu es un ange?
- C'est toi qui doit faire attention.. attend, mais.. tu me vois!.
      • Bien sur que je te vois.
      • C'est impossible pour un mortel de voir les créatures des autres mondes! À moins d'avoir en possession la .. , dit il fixant ma main, mais, c'est impossible .Tu as la pierre de la vue réelle. Cette pierre donne la capacité de voir les créatures des cieux ; tu ne peux pas savoir qu'elle existe. Par qui es tu envoyé?».

Je me souviens que le la mort m'a fait jurer de ne jamais divulguer à qui que ce soit que c'est elle qui m'a envoyé faire cette fouille.
    • «Je ne peux rien dire.
- Bon, je comprend. Je vois que tu as six autres pierres. Laisse moi t'expliquer comment elles ont été crées.
    • Oui, je le sais, j'en ai déjà entendu parler.
Eh bien, tu connais beaucoup de chose dit donc pour un humain, laisse moi alors t'expliquer quels pouvoirs détiennent-elles.
Toi, tu possèdes la pierre du soin qui soigne toutes blessures superficielles, la pierre de la vue réelle, la pierre des pensées qui sert à lire dans les pensées, la pierre d'invisibilité qui te rend invisible, la pierre d'hypnose qui hypnotise qui tu le veuille, la pierre de la télékinésie qui sert à déplacer un objet à distance et la pierre de la vie qui ressuscite que les mortels.
Moi, je suis à la recherche d'un mortel sur qui je peux m'entrainer.
- T'entrainer!, Mais... mais, à quoi, dis-je avec un soupçon d'inquiétude.?
- Ne t'inquiète pas, je dois passer un examen d'ange gardien ; ça te dis que je sois le tien? Au fait je m'appelle Naxor. Enchanté, je m'appelle Yohan. D'accord j'accepte.
J'ai repris ma recherche avec un nouveau compagnon qui avait l'air bien sympathique.
Soudain, des créatures effrayantes apparaissent. Il y avait un atmosphère assez effrayant et noir.
Naxor me dit que ce sont les âmes perdues. Elles voulaient nous poursuivre, mais nous les avions semés.
Au bout de notre course, nous avions découvert par miracle la huitième pierre du destin: la pierre de lumière, pierre absorbante l'énergie lumineuse. Nous étions nous deux ravis. Moi encore plus.
Encore une de ces étranges pierres et je reverrais mes parents et mon frère.
Nous reposions moi et mon ami dans une grotte profonde .
La nuit tombé, je me suis endormi après avoir déguster une barre chocolatée. Cette nuit là, j'ai fait le même cauchemar, mais beaucoup plus effrayant. Je me suis réveillé en sursaut. Le soleil s'était déjà levé. Nous avions pris la décision de s'aventurer dans la grotte. Puis j'ai entendu une voix familière et effrayante. Je me doutais bien que c'était elle. Elle m'attendait, elle savait bien que j'allais venir : c'était la mort.
Elle était là au centre d'une salle de la grotte. Une pièce en pierre dont des inscriptions étranges y figuraient au sol. La mort était debout et dans les mains une pierre précieuse, oui une pierre du destin. J'avais peur, mais, j'étais aussi heureux. Mais mon ami Naxor n'était pas de mon avis.
-«Tiens, bien le bonjour Yohan. Alors, tu as bien ce que j'ai demandé?
-Tu travailles pour lui, me demanda Naxor étonné ?
-Oui, j'ai ce que vous vouliez. C'est la neuvième pierre que vous avez à la main?
-Oui, je suis bien généreux, je t'ai avancé. Et tu sais comment elle s'appelle?
Elle s'appelle la pierre du destin, elle peut voir ton futur. Ça t'intéresse de la voir en action?
Je voyais dans cette pierre toute ma vie qui était passé derrière moi.»
J'avais vu une image avec moi et mon Père ; c'était mon premier match de foot, puis, moi et ma mère en train de faire un cadeau à papa pour son anniversaire.
J'ai vu aussi moi et mon frère à Halloween. Et enfin, ce que je redoutais le plus : l'accident.
Le feu. Ma plus grande phobie. Tout était enflammé. Il y' avait des pleurs et des cris.
-«Alors le début de ta vie te plais bien n'est ce pas ? »
-Ferme tes yeux Yohan, m'ordonna Naxor, ça ne sert à rien elle vont te traumatiser.
-Veux tu regarder ton futur Yohan? Observe. »
Je voyais des hurlements de terreurs, des cris et tous ce qui s'en suivait.
Soudain, j'ai vu une scène de ma vie, mes yeux sortaient des orbites, mon corps tremblait.
J'étais sous le choc ; j'avais vu ma mort.

Chapitre 4: Vérité ou bluffe ?

-«Intéressant, n'est ce pas ?
-Que... quoi.., balbutiai-je.
-Oh mon dieu, s'exprima Naxor étonné.
-Tu as vu ta mort, n'est ce pas? Et tu aura l'honneur d'être tué par ma faux.
-Mais, nous avions fait un marché!
-Je n'ai pas menti, je t'ai promis que tu allais revoir ta famille. Eh bien tu les reverras dans l'au delà.
-J'ai compris, me communiqua Naxor. Les âmes perdues ne nous voulaient aucun mal. Elles voulaient nous prévenir du danger.
Vous allez mourir tous les deux, faites vos prières.
La mort, engagea un combat. Elles avait sa faux, nous avions les pierres. Il fallait à tous prix que je quitte le combat, mais, il n' y avait aucune issue. L'entrée fut bloquée .J'avais compris que la mort pouvait modeler les pierres à sa volonté. Pourquoi voulez elle me tuer?
Sous une attaque rapide et puissante elle me blessa, je trébuchais à l'arrière et je tombais sur mon dos, elle allait m'achever.
J'étais figé par la peur. Naxor voulait m'aider mais la mort le projeta sans le
toucher.
Cette dernière s'approcha de moi et me dit :
«  Tu es une menace pour moi Yohan, tu as un pouvoir supérieur aux mortel, il faut que je me débarrasse de toi. Tiens au fait, c'est moi qui ai tué tes parents et ton frère : Adieu ».
Je ne ne pouvais plus rien faire; à ce moment là, je me souvins du doux visage de ma mère :
« Mon trésor, n'abandonne jamais, je sais que tu es capable de tout. »
puis le visage de mon père:
« Tu sais mon fils , j'ai confiance en toi, vas y bat toi, tu es mon plus beau trésor, toi ta mère et Tinny ton frère.
Enfin mon frère Tinny : « Vas-y Yohan, tu es un exemple pour moi. ».
Je revins à mes raisons puis au dernier moment j'évitais son attaque, je me relevais et pris la mort par le cou l'étranglant avec mes propres mains.
« Impossible..un simple mortel ne peux rien me faire. ».
La mort suffoqua et devint poussière; mais sa toge noir; s'éleva dans les airs et se lança sur moi comme un chien enragé. Elle s'incrusta dans ma peau. Non tout sauf ça. Je suis .. suis la mort maintenant.
Mais j'ai gardé mon âme , mon cœur et mon destin dont je serais toujours le maître.


FIN


Par Souheib Khinache et Axel Lambois.








L'heure tourne

Léa & Coraline


Léa Quettelart et Coraline Arnout sont meilleures amies. Elles sont nées dans le nord de la France, à Lille en 1997. Coraline est née le 24 Septembre et Léa le 30 Octobre. Elles ont écrit cette œuvre en 2011 lorsqu’elles étaient collégiennes. C’était un devoir de français.




Tic, Tac, Tic, Tac, C’est le bruit que j’entendais à chaque heure.
Comme tous les Samedi, je me suis rendu sur la place du village, pour trouver la perle rare, cette horloge du XVIIe siècle que je cherchais depuis des lustres. Je déanbulais dans les rues quand tout à coup une petite boutique attira mon attention. Je suis entrais dans cette magnifique boutique où j’ai trouvé l’authentique horloge faites par les mains de Louis XIV, et bizarrement l’antiquaire me l’as donnais. Je me suis posais des questions, c’est vrai, mais j’ai acceptais. En rentrant chez moi je l’ai mis directement dans ma chambre. Puis un bruit retentit a la télévision, un attentat suicide avait éclaté dans la ville de Tunis. J’ai pris soudain compte qu’une de mes amies se trouvait, en ce moment là-bas et j’ai voulus prendre de ces nouvelles. J’ai appris par un coup de fil bref, que Julie (mon amie) avait étais immolée a cause de ce maudit attentat dans le hall de son hôtel. Fort attristé par cette nouvelle, je remontais dans ma chambre et une étrange sensation m’envahissait. C’étais comme si on m’observait. Je me tournais alors vers ma fenêtre et là… Un corbeau me fixais, c’étais peut être un signe, car ce prédateur est le symbole de la mort. Ensuite ma mère m’avait demandé de descendre, elle venait de recevoir mon bulletin, 8 de moyenne en seconde. Ma journée commençais bien, puis, avec le décès de Julie, le corbeau et ensuite, le bulletin c’étais la goutte d’eau qui faisait déborder le vase !
En retrouvant ma chambre j’entendis le bruit, ce bruit que j’entendais a chaque heure ‘’Tic, Tac, Tic, Tac’’, ceci m’inquiétais alors j’ai démontais le mécanisme et j’ai trouvais une pièce intrigante, une espèce de petite puce où il avait les initiales ‘’M-A’’. Le soir même avec la tristesse que j’éprouvais, j’avais organisé une petite soirée en hommage de Julie, dans ma demeure, les invités étaient respectueux. Quand soudain un benêt a pénétrait dans ma chambre et a cassait l’horloge. Pour moi, c’était comme si le monde c’était arrêté.
Après cette soirée, je ressentais un vide, j’étais comme effondrais
Le lendemain avec mon désarroi je suis retournais sur la place du village, il y aurait peut etre une boutique d’antiquité ouverte malgré que nous étions Dimanche. Et pourtant je me suis retrouvais en face de cette même boutique dans laquelle j’avais trouvé cette sublime horloge. Je suis rentrais avec l’espoir de la retrouver, mais je savais que cela étais impossible. Et devinez quoi ? En sortant, j’avais en ma possession la pendule fabriqué par Louis XIV.
EXACTEMENT LA MEME
En rentrant chez moi, la seule chose qui m’as traversais l’esprit c’étais de démonter le mécanisme pour voir si je retrouvais la même puce avec les même initiales ‘’M-A’’ et comme par hasard, je les ai retrouvé. Après cela, un bruit avait retentit a la television, un attentat avait éclaté sur la ville de Tunis. Je pris soudain compte que de UNE, une amie se trouvait là-bas, et de DEUX qu’hier il y avait aussi eu un kamikaze. J’appris par un coup de fil bref que Julie avait été brulé dans l’entré de son hôtel. Fort ému par cette nouvelle et surtout inquiet de ce que je vivais, je suis remonté dans ma chambre. La même sensation que la veille m’avait envahi. Alors je me suis retourné vers ma fenêtre et j’ai revu se corbeau. Depuis se matin, je revivais la même chose qu’hier. J’étais abasourdi. Etrange non ?
De plus ma mère m’avait appelé, elle venait de recevoir une fois de plus mon bulletin. Je commençais vraiment a m’inquiéter. Depuis que ce benêt m’avait cassé mon horloge, je revivais la même chose, tous les Samedi.
J’avais peut être raison, le monde c’était surement arrêter !
Peut être que se devais se passer comme sa. L’antiquaire m’a proposé de la prendre, en sachant qu’elle couter chère.
Pourquoi alors me la t-il donner ? Pourquoi avoir une puce avec les initiales M-A ? En y pensant M-A, signifie peut être
MARIE ANTOINETTE.




En tout cas, depuis se Samedi, tous les jours il y a un attentat suicide a Tunis, tous les jours Julie décède, tous les jours je revois se corbeau, tous les jours je reçois mon bulletin et surtout tous les jours on est Samedi.
Etait-ce un cauchemar ou la réalité… ???


- Résumé

Rêve ou réalité, la vie peut parfois réserver d’étranges surprise. Mais pas comme celle-ci. Lisez cette œuvre et vous comprendrez…


Auteur : Léa Quettelart et Coraline Arnout (1997- ?) Edition : C&L Type : Fantastique